Rentrée retardée dans les écoles secondaires des Découvreurs
ÉDUCATION. En ces temps de pandémie, la gestion des activités sportives en milieu scolaire continue d’être problématique. Dernier impact en liste, le Centre de services des Découvreurs (CSDD) avise devoir repousser la rentrée dans les principales écoles secondaires de son territoire.
Les parents d’élèves ont reçu une missive annonçant l’éventualité, il y a quelques jours. Les établissements concernés par ce report de quelques jours sont le collège des Compagnons, la polyvalente de L’Ancienne-Lorette, l’école des Pionniers et l’école secondaire De Rochebelle.
Espoir envolé
Dans la lettre signée par le directeur général du CSDD, Christian Pleau, on indique que les préparatifs allaient bon train dans le respect des balises édictées par le ministère de l’Éducation et la Santé publique. Il était permis jusqu’alors d’espérer que les élèves pourraient bénéficier de l’offre de service habituel, notamment au regard des activités sportives.
«Malheureusement, les contraintes liées aux regroupements d’élèves en classe et lors d’activités parascolaires, clarifiées par le ministère de l’Éducation, nous obligeront à revoir notre organisation scolaire et l’offre de service initialement prévues. Nous avons le regret de vous annoncer que la rentrée scolaire pour ces écoles a été repoussée au 4 septembre pour les élèves de la 1re secondaire et le secteur de l’adaptation scolaire. Pour les autres élèves, la rentrée aura lieu le 8 septembre», écrit M. Pleau.
Ajustements
Ce délai permettra à l’organisme de s’ajuster et de s’assurer que tous les élèves restent à l’intérieur de groupes-classes stables en tout temps. La direction de chaque école transmettra sous peu aux parents les modalités associées à la rentrée au secondaire de leur enfant, ainsi que l’horaire qui lui sera assigné. Se disant désolé par la situation, le directeur du CSDD rappelle que «la priorité demeure la sécurité des élèves et le respect des règles édictées par le ministère de l’Éducation et la Direction de la santé publique».