L’implication de Frédéric Plante soulignée
Reconnaissant son implication au sein de l’organisme de course à pied à but caritatif Team in training, la Société de leucémie et lymphome du Canada a récemment remis à l’animateur du Réseau des Sports (RDS) Frédéric Plante son prix national des médias.
Porte-parole de cette organisation sportive visant à amasser des fonds pour la recherche sur les maladies du sang, le communicateur originaire de Saint-Pierre s’est dit très étonné d’apprendre qu’il remportait ce prix prestigieux nommé en l’honneur de la journaliste canadienne Barbara Frum, qui a été emportée par la leucémie à l’âge de 54 ans.
«Je tiens absolument à ce que le travail de Team in training soit connu. Nous courons tous pour sauver des vies en amassant de l’argent pour trouver un remède aux différents cancers du sang», explique Frédéric Plante, qui a reçu cet honneur des mains du député fédéral Bob Rae, lors d’une réception tenue à Toronto, en présence de nombreuses personnalités canadiennes.
Il ajoute qu’il ne rate jamais une occasion de faire la promotion de l’organisme et cette cause qui lui tient à cœur sur plusieurs tribunes, que ce soit à la télévision, à la radio ou sur son blogue.
«Je viens tout juste de terminer la production de deux publicités qui tournent déjà à RDS et, prochainement, sur les autres réseaux», souligne le joggeur expérimenté.
Un RÉER santé
C’est son grand-père qui lui a inculqué cette passion pour la course, il y a une dizaine d’années. Ce dernier lui avait alors dit une phrase qui a nourri sa passion pour le jogging.
«Mon grand-père m’avait dit : « C’est beau de mettre de l’argent dans un RÉER, mais mets en aussi dans un RÉER santé. Investis dans ta santé »», se remémore celui qui a plusieurs marathons à son actif.
Seulement cette année, il a pris le départ des épreuves de San Francisco, Paris et de l’Alaska, notamment. Il est actuellement en préparation pour le marathon de Rome, tenu en mars 2011. Une blessure à la cheville l’a toutefois tenu à l’écart de ses espadrilles depuis quelques mois.
Courir à l’année
Été comme hiver, Frédéric Plante ne rate jamais une chance de sortir courir. Il lui est même déjà arrivé de devoir faire des acrobaties, question d’éviter un face-à-face inégal avec une gratte lors d’une averse de neige.
«J’étais allé courir lors d’une visite chez mes parents à l’Île d’Orléans et j’avais dû me lancer dans un fossé parce que la gratte arrivait. Rien ne m’arrête!», lance le porte-parole du plus gros organisme de course à but charitable au monde.