Société

Le Bal du maire : une 6e édition réussie

PHILANTHROPIE. Le Bal du maire 2016 s’est tenu hier soir au Château Frontenac, dans un décor inspiré de la culture russe. Près de 500 invités et membres de la communauté d’affaires de la ville étaient présents à la soirée, afin d’amasser des fonds pour la Fondation Québec Jeunes.

L’événement a permis d’amasser une somme de 365 000 $. Ce montant a été amassé par les inscriptions au bal, les dons spontanés au cours de la soirée et un encan qui se tenait le soir même. Cet argent sera remis à la Fondation Québec Jeunes et ensuite à ses partenaires. «Ce soir [hier] nous sommes plus de 500 personnes qui se sont mobilisées. L’événement est devenu un incontournable, parce qu’on a à cœur le succès de nos jeunes. C’est la relève de demain», explique Roxanne Vachon, gestionnaire principale du Bal du maire.

Les cinq dernières éditions ont permis de remettre une somme de 1,4 M$ à divers organismes de soutien aux jeunes en difficulté, dans le domaine de la santé, du décrochage scolaire et autres. C’est plus de 10 000 adolescents qui ont bénéficié des services de la Fondation Québec Jeunes depuis les cinq dernières années.

Le porte-parole présent

L’animateur et acteur Stéphane Bellavance est porte-parole de la Fondation Québec Jeunes depuis trois ans. Il était présent pour animer la soirée. «J’ai fait de la télévision jeunesse pendant près de 15 ans. J’ai été sollicité souvent pour des événements de différentes ampleurs géographiques. Devenir porte-parole pour la Fondation Québec Jeunes est une façon pour moi d’aider le plus de gens possible avec cette cause», explique M. Bellavance.

Il faut investir pour la jeunesse

Pour le maire de Québec et parrain d’honneur de l’événement, Régis Labeaume, il est important que l’on investisse pour la jeunesse. «Par exemple, l’École secondaire Vanier s’est équipée d’installations sportives modernes. Nous avons créé des clubs sportifs et le taux de décrochage en 2012 était à 63% dans cette école. Nous avons aujourd’hui un taux de réussite scolaire de 83%», affirme le maire.

Il croit que les investissements comme ceux-ci devraient être imités partout au Québec. «Ce qu’on est en train de faire est un laboratoire. La recette c’est ça, et ça marche», conclut-t-il.

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