Relance concrétisée pour les Loisirs Sainte-Ursule

La relance administrative de la Corporation des loisirs Sainte-Ursule (CLSU) est complétée au grand soulagement de ses membres. Menacé dernièrement de dissolution faute de participation, l’organisme reprend officiellement ses activités grâce aux efforts de son comité de direction.

Quelque 25 membres, dont plusieurs nouveaux visages, se sont réunis récemment au Centre des loisirs Sainte-Ursule, situé au parc Raymond De-Rosa à Sainte-Foy. Tous s’étaient déplacés pour prendre acte, au terme d’une première année de travail, du nouveau départ pour cet organisme inactif depuis plusieurs années.

Fondée en 1966, la corporation a été victime de la pandémie, alors que les anciens administrateurs ont quitté en cours de mandat. Les états financiers n’avaient pas été mis à jour et rendus publics depuis. C’est dans ce contexte que l’actuelle trésorière Denise Leahy a entrepris, en août dernier, de relancer les opérations afin que les actifs existants profitent de nouveau à la communauté.

Finances en ordre

«En présentant son rapport annuel, les états financiers des trois dernières années et ses règlements généraux révisés, l’équipe sortante a démontré que les documents administratifs des Loisirs Sainte-Ursule sont désormais en ordre. Au terme de cette laborieuse reddition de compte, réalisée avec le concours des corporations associées à l’organisme 4Loisirs, la CLSU espère retrouver bientôt la reconnaissance officielle de la Ville de Québec», précise Mme Leahy.

L’équipe a salué l’engagement de Caroline Letendre et de Khadija Saïd qui ont réalisé avec brio leur mandat. En plus de Denise Leahy, Pierre Gagné et Daniel Desroches, le conseil profitera maintenant des compétences de Farah Hlali et Jean-Marie Coen, nouvellement élus.

Les nouveaux administrateurs veilleront à la réalisation du plan d’action adopté, soit la mise en place et le suivi de trois comités. Un premier devant bonifier la programmation d’activités en partenariat avec 4Loisirs, un second destiné à l’animation de fêtes de quartier et un dernier devant évaluer la faisabilité d’activités éducatives en nature.