JUSTICE. Estimant que le groupe faisant partie de la demande de recours collectif contre la société en nom collectif des parcs éoliens de la Seigneurie de Beaupré 2, 3 et 4 était trop grand et que les impacts subis ne pouvaient pas être les mêmes pour tous les résidents, la Cour supérieure a rejeté la requête pour entamer une telle démarche, un jugement qui sera porté en appel.