SOCIÉTÉ. Il n’est pas toujours facile de croire en soi. On doute de ses capacités, de son potentiel. C’est vrai pour le grand public, c’est peut-être plus vrai encore pour les personnes qui ne partent pas sur un même pied d’égalité. Or, à l’occasion de la Semaine québécoise de la déficience intellectuelle (SQDI), du 13 au 19 mars, Jonathan Leclerc entend prêcher par l’exemple: «Vivre avec une déficience est en fait une force positive qui m’a poussé à me dépasser.»