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Déjouer le décrochage scolaire par le dessin

Anika Saint-Cyr a commencé à dessiner à l’âge de neuf ans. /Photo gracieuseté

Un autoportrait montrant que la pandémie se vit difficilement pour ls adolescents. /Photo gracieuseté

PASSION. Déjà à 13 ans, Anika Saint-Cyr dessine tous les jours et elle désire vivre de cet art dans le futur. Pour l’adolescente de Loretteville, dessiner chaque jour lui permet de développer sa passion en conjuguant avec ses études là où plane le décrochage scolaire.

Inscrite en 2e secondaire à l’école secondaire Neufchâtel, Anika raconte avoir découvert le dessin à neuf ans. «Au début, j’utilisais du papier et des crayons. Ensuite, mes parents, voyant ce que j’aimais faire, m’ont acheté une tablette graphique.»

«Plus tard, j’aimerais être artiste, et faire quelques dessins pour des jeux vidéo et en faire une carrière.»
-Anika Saint-Cyr

En plus d’améliorer sa technique, la jeune artiste développe aussi une passion pour la bande dessinée. «Je dessine mes personnages et je les place ensuite dans une histoire. Mon style varie selon le temps. Parfois, mes dessins vont être plus heureux ou tristes.»

Elle travaille en ce moment sur la production d’une bande dessinée qui portera le nom de Shinrin dont le personnage principal est prénommé Naoki. Parmi ses projets, elle envisage de s’impliquer dans l’animation vidéo.

Noaki, le personnage principal de la bande dessinée que prépare Anika Saint-Cyr. /Photo gracieuseté

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