La Société d’art et d’histoire de Beauport accueille le 30e festival de la BD québécoise
FESTIVAL. La Société d’art et d’histoire de Beauport (SAHB) propose plusieurs activités littéraires dans le cadre du festival de la BD francophone de Québec.
(Photo gracieuseté)
Vendredi le 21 avril à 19h30, la société d’art et d’histoire de Beauport accueille une soirée littéraire à la maison Girardin. Sombre Printemps: une soirée littéraire participative proposant un abécédaire ludique autour de la littérature de genre polar, gothique et horreur.
Conjuguant dessin, musique et formes littéraires éclatées, l’événement propose une plongée étonnante et multiforme dans certains des genres les plus populaires de la littérature contemporaine. Sept auteurs et deux illustrateurs se relanceront dans un duel de lettres où vous aurez le dernier mot. Les auteurs présents sont Marrie E. Bathory, Anthony Charbonneau Grenier, Ariane Hivert, Lucie Jean, Catherine Rochette, Mattia Scarpulla et Christiane Vadnais. Ils seront accompagnés des illustrateurs Guillaume Demers et Jean Chouinard.
L’exposition Sombre printemps, présentée en collaboration avec Première Ovation, se poursuit jusqu’au 30 avril, date qui correspond à la fin du festival.
La SAHB vous invite également à redécouvrir, à la maison Tessier-dit-Laplante, Yvette Lapointe, une pionnière de la BD au Québec.
Reconnue comme la première femme à avoir publié de la bande dessinée au Québec, Yvette Lapointe a créé la série Petits espiègles dans les pages du journal La Patrie, en 1933. Pendant une dizaine d’années, les lecteurs de différentes publications au Québec ont pu apprécier son talent à travers des dessins d’humour, des illustrations publicitaires et des strips.
Toujours à la maison Tessier-dit-Laplante, à travers vingt-cinq capsules, le public est invité à découvrir des moments importants de l’histoire du 9e art au Québec, de la première parution connue aux succès actuels, en passant par des auteurs, des personnages et des éditeurs qui ont façonné la bande dessinée québécoise comme on la connaît aujourd’hui.
