L’Université Laval et l’INRS reconnus pour leur engagement en recherche
Deux institutions d’enseignement et de formation de Québec font bonne figure dans de récents classements en matière de recherche. L’Institut national de la recherche scientifique (INRS) arrive au premier rang national du palmarès Research Infosource. De son côté, l’Université Laval grimpe au 6e échelon du classement des 50 meilleures universités de recherche au Canada.
Encore une fois, l’INRS se distingue au sein du Réseau de l’Université du Québec et parmi certaines des universités les plus prestigieuses de la province. Au pays, l’établissement conserve sa première place en matière d’intensité de recherche par membre étudiant diplômé. Il occupe la deuxième place en matière d’intensité par membre du corps professoral.
«Ce classement vient confirmer la pertinence du modèle unique de l’INRS. Un établissement consacré à la recherche et à la formation dirigées vers des créneaux stratégiques, tout en contribuant au développement économique, social et culturel du Québec», souligne Luc-Alain Giraldeau, directeur général de l’INRS.
En ce qui concerne la totalité des fonds de recherche pour l’ensemble de l’établissement (69 829$), l’INRS se positionne en 2022 au 26e rang parmi les 50 meilleures universités au national et se classe 7e au provincial. Ces résultats font de l’établissement un pôle de recherche d’intérêt dans la province de Québec, mais aussi sur la scène internationale.
Gain d’un rang
Pour sa part, le récent palmarès de Research Infosource révèle que l’Université Laval fait un bond de la 7e à la 6e place en matière de fonds dédiés à la recherche. Le campus de Québec a dépassé pour la première fois de son histoire le demi-milliard de dollars (515M$) d’investissements.
«Je suis fière de cette augmentation historique de nos fonds de recherche. Elle démontre la vitalité de notre communauté de recherche et la pertinence des projets de recherche financés à l’Université Laval pour répondre aux grands enjeux sociétaux», se réjouit Eugénie Brouillet, vice-rectrice à la recherche, à la création et à l’innovation.
Il s’agit d’une croissance de 89M$ par rapport à l’année précédente et de 114M$ en deux ans. Les chiffres observés dégagent une tendance positive à long terme avec une hausse des fonds de recherche de 44% au cours des cinq dernières années.