Le Salon du jeu et du jouet sera de retour à Québec après une pause forcée de deux ans en raison de la pandémie. Et comme son retour était loin d’être assuré avec l’ancienne organisation, ce sont les Éditions Gladius qui ont pris les choses en main en faisant l’acquisition de l’événement.
D’ailleurs, par cette prise en charge de l’événement, le fondateur de l’entreprise créatrice de jeux, Marc Fournier, aimerait bien amener Québec à devenir «la ville reine du jeu et du jouet à moyen terme». «C’est un événement extraordinaire, on devait s’assurer que ça revienne. Il y a un énorme potentiel pour l’amener à un autre niveau!», dit-il.
Alors que le salon concentrera ses activités au Centre de foires d’Expocité pour une 6e édition les 5 et 6 novembre prochain, il n’est pas impossible qu’il se déploie sur plusieurs sites au cours des prochaines années. «J’aimerais que le salon déborde à d’autres endroits les soirs pour que les gens puissent jouer jusqu’à trois heures dans la nuit et que ça se poursuivre le lendemain», laisse-t-il entendre.
Jean-François Baril, porte-parole
L’une des étapes par lesquelles la nouvelle direction du salon souhaitait passer pour faire grandir l’événement passait par la nomination d’un porte-parole. C’est l’animateur et humoriste Jean-François Baril qui a été sélectionné. «J’adore jouer à tout dans la vie! Vous devriez voir mon armoire à jeux, d’ailleurs, il faut que je fasse un ménage dedans. Il n’y a aucun jeu que je n’aime pas et j’en conçois. Donc, j’allais assurément venir pour présenter mes jeux», se réjouissait le nouveau porte-parole du Salon du jeu et du jouet.
Tout au long de la fin de semaine, les visiteurs du salon pourraient avoir l’occasion de rencontrer M. Baril puisqu’il y animera diverses activités en plus de circuler à travers la quarantaine d’exposants et les zones de divertissement. «Dans la fun zone, je devrais animer quelques petites compétitions. Les détails ne sont pas encore complètement ficelés, mais ça pourrait peut-être être une Guerre des clans ou mon jeu Connexion», laisse entendre celui qui anime La Guerre des clans au petit écran.