CONCOURS. Bâtir une entreprise de marketing d’influence qui offrirait également des services juridiques en droit des affaires, telle est l’ambition de Jade-Élie Savoie, finaliste pour le concours Miss Québec 2016. L’étudiante en Droit de l’Université Laval aimerait poursuivre sa formation avec une maîtrise en affaires électroniques, spécialisée en droit.
Jade-Élie Savoie a la mission de la Fondation Lise Watier bien à cœur, surtout dans ses actions «d’encourager le leadership et l’entrepreneuriat chez les femmes». (Photo gracieuseté – Marc-André Couture)
La jeune femme qui habite l’arrondissement de Loretteville estime que sa participation à Miss Québec est un pas de plus pour faire sa place dans la nouvelle réalité médiatique de l’industrie de la mode et du marketing d’influence.
«Grâce à l’organisation, j’acquiers des atouts, de la confiance et de l’expérience, en travaillant étroitement avec des entreprises et en côtoyant des acteurs influents dans le secteur de la mode et des relations publiques», affirme la jeune femme âgée de 20 ans.
Évolution des concours
Jade-Élie est heureuse de voir à quel point ce type de concours a évolué au fil du temps: «on peut ainsi transmettre un nouveau message aux jeunes filles, comme quoi avoir une taille 0 et un joli visage n’est pas synonyme de succès immédiat».
Elle explique que Miss Québec évalue les candidates surtout sur l’esprit d’équipe, l’attitude et l’entraide, ce qui incite les filles à se démarquer par leur personnalité. Celle qui portera une robe signée Daniell’C affirme que les juges, lors de galas, «ne se basent pas sur l’esthétique de la robe, ni le corps, mais bien sur ce que l’on dégage comme personne et sur le discours prononcé sur scène».
La Miss Québec 2016 sera couronnée le 4 mars prochain.