Culture

Les Éditions Gladius lancent la troisième version du jeu Gangster

JEU DE SOCIÉTÉ. Les Éditions Gladius, manufacturier et fabriquant de jeux 100% québécois, ont lancé la troisième édition de Gangster, le populaire jeu de société. L’équipe de Québec Hebdo a testé pour vous ce nouveau jeu où la corruption et les enveloppes brunes permettent de devenir le nouveau maire de la ville.

(Photo TC Media – Charles Lalande)

Le premier Gangster a été lancé il y a près de 20 ans. Au total, plus de 115 000 exemplaires de deux premiers jeux se sont vendus à travers le Québec. À l’occasion du Salon du jeu et du jouet de Québec, ils ont fait l’annonce de cette troisième version du jeu.

Dans Gangster III : Le Pouvoir, le Parrain est assoiffé de pouvoir et veut élargir son emprise sur la ville. Il ordonne donc à tous les joueurs de se lancer dans une importante campagne électorale pour devenir le nouveau maire. Les joueurs devront donc accumuler le plus grand nombre de votes, de membres et d’argent.

On l’a testé pour vous

«En tant que nouvelle mairesse, je veux tout d’abord remercier mes fidèles électeurs. Plus sérieusement, j’ai beaucoup aimé le jeu. Une petite incursion dans la criminalité et le monde interlope qui exploite avec humour la vision la plus noire que l’on peut avoir de la politique. Il faut toutefois avoir du temps devant soi puisque remporter une campagne électorale, ça ne se fait pas en 15 minutes!»

-Thaïs Martel

«La nouvelle histoire derrière le jeu Gangster est très divertissante! On espère toujours avoir de plus en plus d’argent et, surtout, de plus en plus de votes pour gagner les élections truquées. En osant jouer de témérité, on peut rapidement se ramasser une belle petite cagnotte. Seul hic: le livret d’instruction doit rester à portée de mains, car les cartes et les règles sont nombreuses et parfois inégales. Combien de dés faut-il lancer déjà? Est-ce que je dois acheter une carte, ramasser l’argent? Petit à petit, on apprivoise la tablette et à la fin de la partie, qui est plutôt longue d’ailleurs, on finit par s’en tirer assez facilement.»

-Prisca Benoît

«L’idée de lutter pour diriger la ville plutôt que de s’enrichir est assez intéressante. Tout est très bien pensé pour faire une petite passe d’argent ou pour soudoyer les électeurs afin de devenir le maire de la ville. Magouilles, travail au noir et corruption sont au rendez-vous! Amateur de la première version, je dois avouer que j’ai préféré la version originale et sa boîte rouge.»  

-Mathieu Turgeon

«J’ai aimé l’idée que, pour une fois, l’argent n’est pas le plus important dans un jeu de société, mais bien utiliser cet argent pour acheter le pouvoir. Nous avons eu bien du plaisir à magouiller afin de remporter le plus de votes possible. Avec de l’imagination, on pourrait apercevoir quelques clins d’œil à la politique municipale de Québec pour un jeu créé par une entreprise de Beauport, je ne crois pas que mon imagination fertile en soit la seule responsable.»

-Marie-Pascale Fortier

Un jeu parfait pour des soirées entre amis où corruption, enveloppes brunes et magouilles seront au rendez-vous. Les versions un et deux du jeu sont toujours en vente.

Articles récents du même sujet

Exit mobile version