SONDAGE. Jusqu’au 4 mai, CAA-Québec demande aux automobilistes de se prononcer sur les pires routes du Québec, qu’elles soient «fissurées, trouées, effritées ou trop maganées pour être praticables en toute sécurité».
(Photo – Archives)
«La qualité du réseau routier est clairement au cœur des préoccupations des Québécois. Des milliards de dollars sont versés chaque année par les usagers du réseau et il est essentiel de leur permettre d’être entendus. C’est ce que nous leur offrons au moyen de l’outil Les pires routes», explique Sophie Gagnon, vice-présidente communications et affaires publiques chez CAA-Québec.
Dans le cadre de la troisième édition de cette campagne annuelle, chaque usager de la route peut voter chaque jour, mais seulement une fois dans la journée, en se rendant au piresroutes-caaquebec.com
Un succès pour 2016
En 2016, CAA-Québec affirme que 90 % des routes ciblées par les participants ont été réparées et améliorées. «L’an dernier seulement, dans les mois suivant la publication de notre top 10, 15 millions de dollars ont été investis et prévus sur les routes identifiées. Coïncidence ou pas, ce qui importe, c’est que les réparations soient effectuées dans les meilleurs délais», lance Sophie Gagnon.
À la fin de la campagne, les résultats seront envoyés aux autorités concernées. CAA-Québec assure qu’un suivi sera fait concernant les investissements reliés et dressera un bilan des 10 pires routes de la province.
TC Media